Calamars farcis et riz thaï et nouvelles venues chez Mamounette de Vendée
Les produits de la mer chez nous on adore ! Vous me direz bien oui pour une personne habitant près de la grande bleue c'est normal ! Mon mari plus particulièrement le poisson, je me contente de sole et saumon. Mais l'encornet ou calamar oh c'est un bonheur de le manger de différentes façons.
En Espagne, tous les calmars comme les chipirons (dont recette déjà sur mon blog), mais aussi les gros calmars sont souvent sur les tables accompagnés de chorizo. Chauds ou froids ils se dégustent en anti-pastis ou en plat principal.
Ensuite, je vous emmène à la découverte de nouvelles venues chez moi, grâce à mon amie de Toulouse, Michèle dit Michop.
200 g de riz thaï
4 calmars ou encornets
1 tranche de jambon blanc
1 tranche de jambon de Vendée ou autre (Bayonne, Aoste…)
2 oignons
Persil
1 petite branche de céleri
1 biscotte ou chapelure
1 œuf
1 bocal ou boîte de tomates pelées
3 cuillères d’huile d’olive
½ verre de vin blanc sec
¼ litre d’eau ou le jus du bocal de tomates pour la sauce
12 olives noires et vertes
4 rondelles de chorizo d’Espagne
Aromates : sel, poivre, 1 C.C. curcuma, basilic, thym, laurier, ail
Préparation :
Cuire le riz comme indiqué sur le paquet.
Enlever, en tirant dessus, le filament translucide à l’intérieur de l’encornet (on le sent avec le doigt) et rincer.
Mixer les jambons, le persil, la biscotte ou chapelure, 1 oignon épluché.
Ajouter l’œuf battu, sel poivre basilic et 3 C.S. de riz cuit, mélanger.
Farcir les encornets. Les fermer avec une pique en bois.
Dans un faitout, faire revenir un oignon émincé dans l'huile d'olive.
Faire revenir les encornets et les retourner.
Quand ils ont pris un peu de couleur, ajouter les tomates avec leur jus, les olives, les aromates, le céleri et le vin.
Cuire à couvert 35 mn environ, en remuant une fois.
Dresser avec le riz thaï restant réchauffé au micro-ondes ou au bain-marie, le chorizo et les olives.
Voilà les nouvelles chez Mamounette et Papounet : Cocodi et Cocoda viennent d'arriver semaine passée. Grâce, euh... à cause... Euh, MERCI mon amie de Toulouse me voici à nouveau avec des pouloches.
Faut dire que ça fait un bail que je voulais en reprendre depuis Soissons où j'en avais 4. Mais en Vendée nos activités loisirs se sont focalisées sur la navigation et la Grande Bleue, donc pas de temps pour s'occuper de ces braves bêtes.
Mais les oeufs frais et le plaisir d'aller les chercher me manquaient terriblement ainsi que le brrr cote cote codette.
Donc Michop m'a montré ses pensionnaires et ses premiers oeufs frais et nous voilà partis à la recherche d'un poulailler de poules pondeuses. Je ne mange pas mes poules que ce soit dit !