J'avoue en faire toute l'année dès que j'en vois du magret. Mais je trouve que ce plat est festif quand même et fera peut-être honneur à votre table pour cette fin d'année, le 25 le lendemain du réveillon si l'on préfère la traditionnelle dinde du 24 au soir. Je pense que le père noël apprécierait les deux et peu importe... Du moment qu'il a son bout de bûche et son verre de bulles !
En légume accompagnant, et c'est le but de mon billet du jour, j'ai voulu faire des petites choses aux champignons et pommes de terre, ce qui change du chou-fleur et carotte déjà sur mon blog. De bons pavés raffinés qui accompagnent tous les mets : Poisson, viande ou volaille... Même un soir sans grand faim avec une petite salade mesclun.
Bientôt « Papou Noyel » alors j'espère que vous avez été sages, « mÖa » ouiiii !
Pour 9 petites légumières
3 petites pommes de terre
6 champignons de Paris
1 brick de crème fraîche épaisse
2 C.S. De fécule de maïs
3 œufs (ici mes Nègre Soie)
1 petite pellette de sel de Guérande au curry
2 C.S. D 'huile d'olive
Eplucher et tailler les pommes de terre en petits cubes. Les cuire à l'eau pendant 10 min. Egoutter.
Couper les champignons en petits morceaux et les cuire 5/7 min dans une poêle avec 2 C.S. D'huile d'olive.
Battre les œufs avec la fécule de maïs et le sel parfumé.
Incorporer les champignons et les patates, mixer légèrement en laissant quelques bouts.
Verser dans les moules et cuire 30 min à 175°.
Avec un magret de canard cuit dans une poêle anti-adhérente.
La volaille va rejeter de la graisse que l'on videra et on retournera le magret côté chair pour finir la cuisson, soit 4 min de chaque côté environ selon la taille.
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Bonnes fêtes de fin d'année
Il a fait très beau samedi, 14°, une magnifique journée ensoleillée pour se balader tranquillement à la mer pendant que les gens faisaient les boutiques et avant les vacances scolaires... C'est un endroit où j'adore aller, il m'inspire à marée haute comme à marée basse. Quand il n'y a personne c'est un havre de paix où l'on peut se ressourcer et penser à autre chose, se vider l'esprit comme on dit. Assise sur un rocher à contempler le large puis les vagues qui viennent embrasser le sable en déposant du goémon, admirer le ferry qui se dirige sur l'Angleterre, voir les oiseaux paisibles sur leur prémontoire dont 2 macareux au repos a priori, voilà la vraie vie pour moi où je me sens bien.
Mon havre de paix, ma ressource
A droite les 2 macareux
