Les pralines ne sont pas mon dada mais incorporées dans les pâtisseries ou crèmes là oui j'avoue que ça donne un petit goût agréable et un léger croquant. J'aime la couleur aussi.
J'adore la brioche ou les pains au lait comme Elodie ma petite reine de la boulange qui m'en a redonné l'eau à la bouche cette semaine, mais cette recette est bien de moi. J'avoue que je suis une dingo de viennoiseries. Alors quand je peux en façonner et que je me régale je suis contente et mon palais et estomac satisfaits.
Ce qui est bien c'est de pouvoir jongler avec la quantité de farine, de beurre..., même si on ne veut que quelques briochettes et pas une corbeille qui va rassir car je n'ose pas les congeler. Là, quelques-unes vont se faire dévorer très rapidement pour le tea time, ou avec un lait mousseux ou un café, ou de bon matin. Pour les conserver je les ai mises dans le four sur une assiette.
Le beurre Bordier breton demi-sel apporte un goût exceptionnel à cette mie briochée tout comme les œufs.
Pour 9 briochettes :
280 g de farine
1 sachet de levure boulangère
50 de sucre
1 sachet de sucre vanillé
1 pincée de sel
3 œufs Cocodi ou fermiers ultra frais
70 g de beurre salé Bordier pour moi ou de bonne qualité pour le goût
Quelques pralines concassées
Déposer dans la cuve du robot pâtissier équipé de la feuille ou du crochet selon préférence : la farine mélangée à la levure, les sucres, le sel, les œufs.
Pétrir puis incorporer le beurre en morceaux jusqu'à obtenir une pâte malléable.
Former une boule et laisser gonfler dans le four préalablement préchauffé à 50° durant 2 min.
Bien entendu éteindre le four !
Dégazer la pâte en ajoutant un peu de farine pour le façonnage.
La couper en morceaux à peu près égaux, soit 9 pour ici.
Etaler chaque bout pour incorporer quelques pralines concassées. Rouler dans les mains pour former une petite boule.
Placer sur une plaque équipée de papier sulfurisé et cuire 12 min environ à 180°.
Les briochettes sont blanchâtres du fait que je ne les ai pas badigeonnées avec de l'oeuf avant la cuisson car il m'en manquait.
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Voilà mes amours poilus qui sont allés chez le toiletteur, Handy lundi et Isis mardi. C'est mon mari qui les emmène car je pleure j'ai l'impression de les mener à la souffrance. Handy est revenu et s'est installé directement dans son coussin je n'ai pas eu le temps de le changer, et le lendemain Isis s'est jetée pratiquement dans mes bras, enfin elle m'a sauté dessus tellement elle était stressée, et oui les larmes sont arrivées... Bref, je leur ai mis un coussin pour eux deux afin qu'ils se réconfortent. Bien entendu ils ont eu leur petit gâteau ! Et ils sont beaux mes zamours non ?
